Dans le cadre d’une enquête sur le thème des prochaines Journées européennes du patrimoine dont le thème est « Patrimoine culturel, patrimoine naturel », le ministère de la Culture a publié le 9...

En 2013 le 1200e anniversaire de la découverte du tombeau de saint Jacques à Compostelle a été officiellement commémoré en France. Les événements répertoriés dans ce panorama jalonnent l'histoire de Compostelle. Ils offrent un aperçu de ce qui, depuis une première mention découverte dans la Presse en 1836 jusqu'à cet anniversaire, a fait le pèlerinage contemporain. Ce panorama est très complet jusqu'à l'an 2000 sans avoir la prétention d'être exhaustif. Il mêle de grandes décisions à de petites initiatives, des publications marquantes à d'autres plus anecdotiques, sans souci de les hiérarchiser. Il est beaucoup moins dense à partir de l'an 2000 mais ouvre de nouvelles perspectives.

En prenant le parti de rire des manifestations de Narbonne au mois de décembre 2013, unissant saint François et saint Jacques, nous avions pensé qu'il s'agissait d'une initiative locale. Nous avons fait une grossière erreur. Il s'agit en fait d'une grande offensive de Compostelle privée d'année sainte pendant 11 ans. Pour combler ce vide, il fallait au moins une étape intermédiaire. Transformée en histoire, la légende du pèlerinage de saint François à Compostelle en a fourni une base inespérée en référence à la date de 1214.

Le choix de 2013 pour commémorer la découverte du tombeau de saint Jacques ayant été contesté, il apparaît utile de compléter l'argumentaire le justifiant, tout en rappellant qu'il s'agit d'une date légendaire. Mais les légendes font aussi partie de l'histoire.

Sollicitée par La Croix pour une interview à paraître dans des pages spéciales à l'occasion du 1200e anniversaire de Compostelle, Denise Péricard-Méa a été censurée au dernier moment sans explications. Voici l'article dont sont privés les lecteurs de ce quotidien.

Gros succès pour ce livre publié en mai 2013 à l'occasion de la Commémoration nationale. Première édition épuisée ! Les éditions Sutton, lancent la seconde édition moins de 2 mois après la première. Soyez les premiers à donner votre avis..
Avec des pèlerins de Compostelle, remonter dans le temps vers les origines du pèlerinage pour mieux comprendre le phénomène contemporain et ouvrir de nouvelles perspectives.

Depuis le 5 décembre 1998, les Chemins de Compostelle en France sont inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO en tant que « Bien unique ». Ces chemins constituent un cas particulier parmi les biens inscrits. Ils recouvrent l’ensemble du territoire et ne sont pas définis en tant que tels mais par des monuments disparates censés les jalonner.

Sur le Camino francès, une stèle, une date : 1936, l'image d'une colombe et la mention, La Palomba de la Pace.
L'intention du message est claire. Quelle est l'histoire de ce monument ?

Cet article compare le pèlerinage de Compostelle à un théâtre. Les chemins en sont la scène, les pèlerins les acteurs principaux. Acteurs temporaires, ils sont accompagnés de beaucoup d'autres.

A partir de 1872, la congrégation des Assomptionnistes a fait redécouvrir la vertu des pèlerinages pour mobiliser les foules, d’abord vers Jérusalem puis vers les sanctuaires mariaux, La Salette et...

En complément de l'article sur les années saintes du XXe siècle, nous publions ci-dessous de larges extraits de la traduction du dernier chapitre du livre Los mitos del apostol Santiago de...

De grossières erreurs du dossier de Presse d'une exposition qui tend à faire croire que Gelmirez a ouvert Compostelle sur l'Europe alors qu'il n'a pas dépassé Cluny.

Comment les chemins de Compostelle en France ont-ils été inscrits au patrimoine mondial.

Une erreur inadmissible dans la présentation d'une exposition du gouvernement de la Galice au Palais de Chaillot.

Le 31 décembre 2009, l'archevêque de Compostelle ouvrira solennellement la Porte du Pardon de la cathédrale, marquant l'ouverture de la seconde année sainte du 21e siècle. Mémoire des années jubilaires du peuple hébreu, les années saintes sont dans l'Eglise des occasions de réveiller la foi des fidèles et, pour les lieux saints qui en bénéficient, d'augmenter le nombre des pèlerins et le montant de leurs offrandes.