L'histoire au service de Compostelle et du patrimoine Saint-Jacques
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En 1993, l'Espagne a fait inscrire au Patrimoine Mondial la totalité du Camino francés et plus de 1800 monuments ou sites. Cette inscription avait été encouragée par le Conseil de l'Europe. L'inscription des chemins en France a suivi en 1998. Mais il n'était pas possible d'identifier un chemin. Seuls 71 monuments et 7 tronçons du GR 65 ont été inscrits sous le nom " Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle en France ". Les plaques apposées sur les monument l'attestent.
Mais, depuis, l'UNESCO veut s'en tenir strictement à l'inscription des monuments auxquels elle peut appliquer des critères de gestion inapplicables aux chemins. En 2013, le ministère de la Culture a pris des mesures en faveur des monuments, tout en maintenant l'ambiguïté sur la définition du Bien. Pour rester dans le flou, l'ACIR, agence chargée de la mise en oeuvre de la nouvelle politique a conservé son statut d'association, lui permettant d'être considérée comme une association de pèlerins parmi d'autres.
A défaut de pouvoir faire inscrire les chemins de Compostelle en France au Patrimoine mondial, la France a profité en 1998 d'une conjoncture politique favorable pour faire inscrire 71 monuments censés les représenter auxquels furent ajoutés 7 tronçons du GR 65, témoins de prétendus " chemins historiques " mais tracés à partir des années 1970. Cette rubrique leur est réservée.
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